Presque la totalité des chiens et des policiers-secouristes étaient partis pour la prise d'otage qu'il y avait eu lieu à la banque. Aussi, seuls restait les quelques nouvelles recrues au centre, ou encore, certains maîtres chiens et soigneurs.
Enfin voilà. Un homme d'une trentaine d'année s'approcha de l'enclos où on laissait courir les chiens. Un grand enclos avec des arbres, de l'herbe, une grande et agréable fontaine en son centre, des caillous plats plus ou moins hauts où les chiens pouvaient se mettre pour voir ce qui se passer de leur hauteur. Mais l'enclos en dehors de ça était bien protégé. Plus de deux mètres de haut pour la clôture en grillage d'acier et le bas en béton s'efnonçant dans le sol pour éviter que les chiens ne s'échappent en sautant ou en creusant.
L'homme arriva devant l'entrée de l'enclos et repéra le berger blanc suisse qui s'y trouvait. Il sourit alors, la laisse courte en cuir à la main, et un collier flambant neuf de l'autre sur lequel était inscrit le nom du chien.
"Bonjour Koga. Ca va mon grand ?"