Banque centrale [mission n°1]

Le chef eut un sourire pas très rassurant lorsqu'il entendit la voix de la personne qu'il avait au bout du fil. IL avait reconnue, la soit disant infirmière.

"Tiens tiens, la soit disant infirmière. Alors c'est avec vous que je traite à présent ? Très bien. Où en sont les trois voitures que vous m'avez promis un peu plus tôt ?"

L'homme jeta un coup d'oeil mauvais vers le capitaine qui continuait de le fixer. Ils avaient vraiment voulu le tromper ces salauds et ça, l'homme n'appréciait pas du tout.

"Vous savez, vous devriez éviter de me jouer des tours. Il serait vraiment très malheureux que des bricoles arrivent à votre capitaine."

L'homme ricana un peu.

En attendant, dehors, les chiens commes les hommes s'imaptientaient, oui c'était long, mais avec un nombre d'otage aussi conséquent, il ne fallait pas prendre tout ça à la légère. Les jeunes rassuraient les chiens, leur donnaient de l'eau et les caressaient doucement pour tenter de les apaiser. Le juene qui tenait le Rotweiller surtut sentait que le chien savait ce qui se passait à l'intérieur alors que même lui l'ignorait. Mais pour le moment, il n'avaient pas reçu l'ordre d'entrer...et n'avaient donc pas encore enlever la grille de devant la bouche d'aération même si ils en avaient déjà desserés les boulons pour aller plus vite.

Thunder n'arretait pas de grogner. Il sentait un membre de la brigade qui était en danger. Il n'avait qu'une envie défoncer ce grillage. Il ignora le bol d'eau qu'on avait posé près de lui. PAr moment le Rottweiller regarda l'homme qui le tenait en laisse comme pour essayer de lui dire ce qui se passait. Thunder était heureux d'avoir ce qu'on appellait le 6ème sens. Il se retenait lui même de ne pas trop tiré même si la laisse était quelque peu tendu.

J'observai la jeune femme, patiente. Puis, après avoir vu qu'elle allait bien, je retourne avec rapidité vers la camion, ayant parfois du mal à passer entre les journalistes qui tentaient vainement d'en savoir plus. Un infirmier me rejoint vivement, m'annonçant que l'un des bléssés s'agitaient. Je fronce les sourcils et me précipite vers l'ambulance, où je retrouve les deux bléssés. L'un d'eux, celui bléssé au ventre, respire plus rapidement. Je m'approche. Il semblait s'être simplement réveillé. Je le regarde, le rassurant. Il avait heureusement simplement besoin de paroles. J'avais eu que ce soit pire. Après avoir réussi à le calmer, je vais m'asseoir à l'extérieur, callant ma tête contre le camion, fixant la banque en silence.

Amanda garda son calme en entendant qu'elle avait été reconnue.Elle reconnaissait que cela avait été un peu bete de sa part de faire les négociations au téléphone mais elle n'avait pas vraiment réfléchi,apres tout on lui avait passé le téléphone comme ca...Elle ne repondit rien,ne preferant pas énerver le preneur d'otages au bout du fil.

Des voitures ? Ce devait etre une nouvelle exigence des voleurs ou alors le capitaine qui les leur avait promises.Amanda mit la main sur le bas du combiné et interpela un policier qui passait.

-Ils réclament trois voitures,dans combien de temps on peut leur donner ?

Amanda prefera ne rien repondre sur la remarque du capitaine,elle savait que c'etait leur plus grosse monnaie d'échange et qu'ils ne le libereraient pas tout de suite.

-Est-ce que je peux parler au capitaine,pour etre informée du nombre de blessés et leur état,pour prévoir le materiel nécessaire.

L'homme au bout du fil patientait...nerveusement. IL détestait qu'on le roule dans la farine et il avait vraiment l'impression que c'est ce qui c'était passé. La réponse en ce qui concerne les voitures que le Capitaine Steven lui avait promis plus tôt ne vient d'ailleur pas, et cale l'énreve, d'autant plus que la jeune femme demande à présent à parler à son Capitaine. Mais ils le prenaient vraiment pour un con ?

"ON M'A PROMIT CES TROIS VOITURES POUR QU'ON PUISSE EVACUER. SI ELLES NE SONT PAS LA DANS 10 MINUTES, JE COMMENCE A TUER LES OTAGES ET IL Y EN A UN QUI PERIRA TOUTES LES 5 MINUTES DE RETARD ENSUITE. JE SUIS CLAIR ?"

Oui l'homme s'énervait vraiment, il finit par reprendre, alors qu'il avait demandé à ce qu'on approche le capitaine de lui.

"En attendant on va se défouler...10 minutes c'est clair ?"

Le chef raccrocha avant de se tourner vers le jeune capitaine, le regardant d'un air mauvais.

"Ainsi, vous avez voulu me tromper..."

Et sans attendre davantage, il commence à tabasser le policier.

Je continus de jeter des coups d'oeil autour de moi pour être sûr que tout se passe bien. Mais non, tout ne se passe pas bien. Je tourne la tête et regarde de nouveau le chef alors qu'il se met à crier au téléphone. J'avais compris qu'il avait Amanda en ligne, mais n'était pas satisfait de ne pas avoir encore ses trois voitures qui n'avaient apparemment pas été commandées. Je pensais pourtant que Maria l'avait fait.
Mais pas le temps de réfléchir, je me sens soulevé pour être amené face au fameux chef. A peine a-t-il raccroché que je sens les coups pleuvoir sur moi. Je retiens un quelconque cri de douleur, grimaçant seulement douloureusement aux coups reçus. Je tente de jeter un coup d'oeil parfois pour voir s'il n'est pas possible de me libérer de ce piège, mais les autres hommes armés m'entourent de trop près avec leurs armes.

Thunder s'énerva de plus en plus. Son 6ème sens lui disait que quelque chose n'allait vraiment pas. Il gémissait et grogna à la fois. Le rottweiller était assez en colère que personne ne comprenne ce qu'il voulait au juste. Il tourna sa tête vers Ayanna et Caïd et leur lanca un regard inquiètant. Puis il se mit à grogner et à tirer vers le grillage. Jamais Thunder n'avait été aussi énervé.

Je patientais à l'extérieur, gardant un oeil sur les bléssés, les écratant aussi de la folie furieuse des journalistes. S'ils les avaient approchés, ça n'aurait fait que les paniquer, et d'un côté, de détestait cette manie qu'avaient les journalistes de se mêler de tout ce qu'il se passait, aggravant parfois même les choses. Je patientais, et jetais un oeil sur Amanda. Elle était au téléphone, sûrement avec le terroriste. Elle s'agitait. Quelque chose semblait se passer, tourmentant l'opération. Je fronçait un peu les sourcils. Je n'aimais pas être dans l'inconnu, mais d'un autre côté, je n'avais pas trop le choix. J'agirais quand on aurait besoin de moi.

Je continua d'aboyer et de grogner en tirant sur ma laisse j'aperçut que Thunder aussi et me lanca un air in quiet je m'arréta puis tira un grand coup le jeune homme me lacha j'aboya et partit en courant en aboyant.

Amanda essaya de garder tout son calme.Dans la vie de tous les jours,elle aurait eu vite fait de l'envoyer balader.

-C'est tres clair.Elles seront pretes.

Amanda entendit qu'il avait raccroché.

*tiiin*

Amanda n'avait jamais été forte pour négocier,que ce soit avec des malfaiteurs ou des gamins.Quelques minutes apres,les voitures étaient pretes.Elle regarda sa montre.

-Il nous reste cinq minutes avant qu'il commence a tuer les otages,j'aimerais qu'on intervienne la,maintenant !

Elle alluma sa radio pour entrer en contact avec les policiers qui s'occupaient des chiens.

-Les chiens sont en place ? Tenez-vous prets,on va intervenir d'une minute a l'autre.

[MJ : tu peux jouer les policiers aussi ? -_-"]

L'homme s'arrêta au bout d'un moment, de frapper le policier qui gisait à terre à présent. Il ne bougeait plus, mais l'homme le savait encore conscient. Ils étaient préparés à cela plus que n'importe qui.
Il dit à ses hommes de le mettre dans un coin, sous surveillance avant de s'occuper des autres otages. Il en désigna un, et tout de suite, un de ses hommes prit l'otage désigné pour le mettre à l'écart des autres. Ce serait certainement le premier tué.

Dehors, les policiers s'activaient. Une dizaine d'hommes se trouvaient avec Amanda, attendant ses recommandations, les autres à l'arrière du bâtiment avec les chiens et ayant reçu l'odre de se préparer attendaient.

"Nous sommes prêts...et les chiens aussi. Enfin sauf un qui vient de nous échapper. J'espère qu'il ne va pas se faire voir par les preneurs d'otages sinon on est pas clair."

Le jeune qui venait de parler tenait toujours Thunder en laisse. Il se baissa vers lui une fois la conversation radio terminée.

"Ca va, on va y aller."

L'autre jeune qui s'occupait de Caïd, rappelait celui-ci, espérant qu'il finirait par écouter.

Thunder écoutait l'homme qui le tenait en laisse. Il comprit immédiatement que l'heure était venu. Son coeur battait à une vitesse folle et cria après Caïd...

-Caïd ne te fais surtout pas voir....

Thunder n'aimait pas jouer les patrons, mais on dirait que par moment Caïd lui fesait faire ce petit air. Contrairement au berger allemand, le rottweiller était plus calme, sauf quand venait son 6ème sens. Le jeune chien donna une lèche à la main du jeune homme qui le tenait et se prépara à entré.

J'entendit l'appelle de l'homme il croyait tout de même pas que j'allait l'écouter puis Thunder me dit de ne pas me faire voir je me coucha et commenca a ramper puis je fit demi tour et revint vers les hommes et me précipita dans le tuyau en passant devant le nez d'un des deux chiens soit Ayana soit Thunder je ne savait pas.

Le jeune qui avait la charge de Caïd vit celui-ci passer (malgré la grille pas encore enlevée), à travers et se faufiler dans la bouche d'aération. Le jeune pesta un peu. Ce chien n'était pas prêt. Il n'y avait personne de l'autre côté pour réceptionner les chiens et faire en sorte qu'ils ne se fassent pas remarquer.
Il demande aux autre de bien tenir les chiens restants et, après avoir enlevé la grille, se faufille en espérant qu'il ne soit pas trop tard. On leur avait dit qu'il y avait 9 hommes à l'intérieur, mais tout le monde en dehors des otages tous regroupés au même endroit et des terroristes ignorait qu'il y avait 5 autre hommes bien dissimulés dans la salle principale ou dans les couloirs.
Un se trouvait près de l'endroit où justement, les hommes et les chiens devaient arriver, dans le couloir qui conduisait à la porte menant à la salle choisie pour l'intervention, mais dissimulé dans une encoignure derrière une bibliothèque. L'homme ne bougeait pas, l'arme sortie cependant et prêt à tirer à la moindre alerte.
UN autre se trouvait dissimulait sous un des bureaux dans la grande salle, un bureau faisant face à un mur. Entendant tout, il attendait bien caché lui aussi. Un autre avait trouvé à se dissimuler en hauteur dans un coin de la grande salle à l'intérieur d'un espèce de placard. Il y était allongé et observait tout ce qui se passait dans la banque, prêt à faire feu lui aussi.
Deux autres encore étaient dissimulés, l'un dans une pièce, l'autre dans un couloir à côté.
Tous les hommes étaient prêts.

Le jeune policier suivait donc son chien, mais d'assez loin, dans la galerie. Il espérait que le chien ne donnerait pas l'alerte sinon, la mission serait une véritable débâcle.

Le chef des preneurs d'otages, toujours dans la salle s'impatientait quand à lui. Le temps passai et rien ne lui disait que les voitures étaient là. Dans deux minutes, l'otage serait exécuté.

Une chance, je 'navais pas compté les coups qui m'étaient arrivés dessus, mais ils m'avaient vraiment passé un tabac. Je n'avais pas perdu connaissance, mais ce n'était pas loin. J'avais reçu plusieurs coups dans la tête, le ventre et les membres...en bref partout. L'endroit le plus douloureux était sans doute ma tête. J'avais d'ailleur une plaie au front et la trace de plusieurs futurs bleus. Mais mon épaule droite également me faisait souffrir. J'espérais que ce n'était rien de grave, mais je n'arrivais pas à le savoir. Les coups m'avaient mis presque K.O. et rassembler mes idées était devenu quasi impossible. Mis dans un coin après ce cours de boxe dont j'étais le punching ball, j'essaie de récupérer du souffle et ce que je peux au plus vite. Je craignais pour la vie de l'otae qu'ils venaient de faire déplacer, à l'écart des autres, mais à moins de 5 mètres de moi cependant; j'étais prêt à tout si il fallait le sauver...et j'spérais que j'y arriverais. Bien sûr, le mieux serait que Amanda puisse intervenir, mais pour le moment, je n'avais aucune nouvelle et cela m'inquiétait de plus en plus.

De dehors, la banque semblait très calme. Comme si rien d'anormal ne s'y était passé, mais les agents, l'attroupement et la presse prouvaient bien le contraire. De l'autre côté de la banque, on avait vu les autres agents de police partir avec les chiens, mais plus aucun signe de vie n'était donné à présent.

Les otages sortis étaient à présent hors de danger, et ils se reposaient, erreintés de ce trop-plein d'émotions. Je continuais de fixer la banque, imperturbable. Ainsi, Amanda avait annoncé que toutes les 5 minutes, un otage serait tué, tant que les voitures n'arriveraient pas. Comment tout cela allait-il se terminer ?

Thunder regardait l'homme qui tenait Caïd en laisse.

°Caïd ne fait pas le mâlin...je t'en pris...°

Il ne voulait pas qu'il lui arrive rien. C'était normal car Caïd était son collègue, mais pour le rottweiller, un ami. Il regarda Ayanna d'un regard beaucoup plus inquiet qu'a l'ordinaire et puis reposa son regard sur l'homme qui le tenait. Quelque chose d'autre allait arrivé. Il approcha son museau du grillage et senti l'odeur d'un homme inconnu près de la sorti. Thunder émit un petit grognement que seul les gens dehors entendent. Il sauta donc sur l'homme pour se retrouver debout et lui lanca des gémissement...

°Quelque chose ne va pas... Caïd et l'homme vont se faire avoir....°

Puis il redescendit et tourna en rond...beaucoup plus nerveux que le moment d'avant.

Avant de passer a l'attaque,ce n'etait plus qu'une question de secondes.Elle voulait etre certaine de la position des preneurs d'otages.Elle attrappa le téléphone et rappela le numéro de la banque.

-Vos voitures sont pretes.Mais avant,je veux une preuve que vous avez respecté le marché et que les otages ainsi que le capitaine sont encore en vie.Est-ce que je peux leur parler ?

Elle esperait qu'ils n'y verraient pas d'inconvénients,apres ca,ils pourraient y aller.

(ouah la boulette !!!)

J'arriva soudain brusquement dans un endroit inconnu je vit plein de gens je baissa les oreilles,grogna et montra les crocs,j'avança doucement en laissant le passage je regardat autour de moi en étant sur mes gardes je renifla et leva ma patte droite et releva ma tête.

Pour le médecin :
Les deux blessés qui avaient été évacués et mis en ambulance devaient absolument être transférés à l'hôpital. Cependant, les ordre du médecin pour les y envoyer semblaient tarder. Après hésitation cependant et avoir concerté le médecin au final, il fut décidé que les deux ambulances pouvaient y aller et reviendraient ensuite.

Pour Caïd et Thunder :
Le jeune qui tenait le rottweiller voyait que son chien était de plus en plus nerveux. Il le tint un peu plus fermement pour que celui-ci ne s'échappe pas et lui parla doucement pour le calmer...
Mais l'autre chien et son collègue s'étantintroduits dans la bouche d'aération pour arriver dans un des bureaux de la banque, il décida de les suivre avec son propre chien. Aussi, tenant toujours Thunder en laisse, il fit comprendre à celui-ci de passer dans le conduit alors que lui même le suivrait de près pour ne pas avoir à le lâcher. Il arriva alors bientôt de l'autre côté du conduit et en resortit dans un petit bureau d'une dizaine de mètres carrés où son collègue et Caïd étaient arrivés eux aussi. Le petit bureau étant fermé, ils ne pouvaient voir ou entendre ce qui se passait ou ce qu'il y avait de l'autre côté, mais en attendant, recommandèrent à Caïd et à Thunder de se taire, le premier arrivé reprenant Caïd en laisse pour le moment.

Pour Amanda :
Le capitaine était toujours enfermé dans la banque, dans un coin, essayant de récupérer. Mais il avait une bonne fracture à l'épaule droite et souffrait malgré tout ce qu'il voulait montrer.
Le chef des preneurs d'otage décrocha le téléphone. Il ne restait qu'une minute avan l'exécution du premier otage. C'était Amanda pour lui annoncer que ses voitures était là. Un sourire apparut sur le visage de l'homme...mais un sourire qui devint bientôt une grimace.

- Vous voulez être sûr qu'on a tué personne alors ?

Il tira en l'air, des cris fusèrent, mais la détonation se fit entendre même de l'extérieur, et pas seulement à travers le téléphone. Il fit cependant signe à ses hommes d'approcher le capitaine et le passa à la jeune fille, pointant son arme sur la tempe du capitaine en lui faisant signe de ne pas jouer aux héros.

Thunder s'avanca dans la bouche d'aération, lorsque l'homme lui dit de passer. Il y alla assez lentement pour que l'homme le suive et le tienne bien en laisse. Il pouvait très bien comprendre. Aussitot arriver, il vit Caïd et lui dit...

-Tu aurais pu nous faire voir et manquer la mission.

Thunder n'aimait pas vraiment jouer les patrons. Mais il se le permettait par moment avec Caïd. Car il ne voulait pas le perdre. C'était un très bon chien lui aussi. Puis les coups de feu se fit entendre, Thunder sursauta et pointa en direction d'où provenait le bruit. Sa nervosité grandissait encore plus et son coeur battait comme tout. On aurait dit qu'il voulait sortir de sa poitrine. Thunder etait maintenant en plein milieux de l'action. La ou tout se passait réellement.

Mon épaule me faisait souffrir en effet. Pas étonnant puisqu'elle était brisée (michant MJ va ! XD). Je grimace un peu alors que je me suis légèrement redressé pour intervenir le plus rapidement possible le cas échéant. Mais soudain, le téléphone se met à sonner. Je comprends vite que les trois voitures sont arrivées et que les bandits vont donc pouvoir fuir...j'espère sans mal pour les otages. C'est alors que j'entend un coup de feu qui me fait légèrement sursauter sur le coup, mais je vois que ce n'était qu'un coup de feu en l'air, surement pour montrer que si il avait tué un otage, ça ce serait entendu de l'extérieur.
Mais pas le temps de réfléchir, je suis soulevé sans doucuer et traîné presque par deux hommes pour me mettre près du chef. Il me donne le combiné que je saisis...mais je n'apprécis guère cette arme pointée sur moi. Je ne dis cependant rien, j'avais compris que je n'étais pas en position pour râler par rapport à cela. Je me concentre donc sur la conversation avec Amanda qui sera certainement très brève.

"Allo ?"

Je regardat autour de moi puis arréta de grogner soudain je sentit quelqu'un me reprendre en laisse je tourna la tête et vit l'homme de l'entrainement je ne fit rien puis regardat Thunder qui me dit quelque chose que je n'aimait pas trop je le regardat et lui lança un regard assez méchant.

"Je sait mais j'y peut rien c'est plus fort que moi !"

Je regardat autour de moi on avait l'air enfermé soudain j'entendit un coup de feu je leva ma patte droite et renifla le sol.

[ouais,méssant MJ ><]

Amanda sursauta en entendant le coup de téléphone et dut l'éloigner un instant de son oreille pour ne pas avoir les tympans en bouillie.Elle savait que c'etait un tir en l'air vu qu'aucun otage ne semblait avoir crié.C'etait plus ce qu'elle esperait que ce qu'elle pensait mais elle essaya de s'en convaincre.Lorsqu'elle entendit Rivaul au téléphone,elle s'empressa de demander :

-Il n'y a pas de blessés ? Ou se trouvent les preneurs d'otages dans la salle ?

Elle savait qu'il trouverait bien une facon pour détourner les questions et y repondre en n'eveillant aucun soupcon chez le preneurs d'otage,a condition qu'il n'ait pas de le reflexe de dire betement les reponses.

J'écoute les questions que me posent Amanda. Je réfléchis à toute vittesse en même temps que je lui réponds. Je ne devais pas laisser de blanc parce que je savais que ces bandits se douteraient alors de quelque chose. Je me débrouille donc du mieux possible pour répondre à ses questions...mais j'ignorais toujours que 5 hommes de plus étaient dissimulés ici. Je ne pouvais donc donné de renseignement que sur les 9 que je voyais.

"J'ai juste une minute...Les blessés tienent bon."

En fait, "j'ai juste une minute" représentait, un blessé de plus, en l'occurence moi puisque que j'avais utilisé la première personne, et le reste de la phrase signifiait que les preneurs d'otages n'avaient pas bougés pour ainsi dire depuis qu'elle était venue. Bon sauf le chef qui bougeait dans tous les sens mais ça...je ne pouvais rien y faire et donc en donner la position serait difficile. Enfin j'en avais toujours deux collés à mes basques, ce que j'essaie de lui faire comprendre.

"Oui j'ai toujours deux blessés assez grave mais ça ira."

J'espérais qu'elle comprendrait tout ce que je venais de lui dire. Mais je n'en étais pas sûr...il est vrai que ce n'était pas évident. Je sens alors un coup dans mes côtes et lâche une brève expiration sous la douleur. Je regarde le gar et comprend que je n'avais plus de temps.

"Et toi ça va ?"

» Rivaul Corsas [suite mission 1]